le corps impatient
de la femme pieuvre
sous le drap rose.
Le sel
de sa peau humide
et creuse.
Le jour renait
: de l’adolescent
que ses bras nombreux enlacent,
peu de chose en vérité.
La douceur du vélin
et un fatras de mots qu’elle gobe
comme autant de fruits
amers
© tv
Très beau texte
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Merci…
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Un côté surréaliste dans ce poème … Je connaissais surtout Picabia comme peintre, merci de nous faire découvrir sa poésie.
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Bravo… collègue 🙂
Amicalement
Bon voyage en P’OASIS (j’essaie de maintenir un Index… cf ci-dessous)
Ch Passeur de Mots
🙂
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